Maisons de Montferré en Mayenne

• Manoir du Gué des Pierres (1848 - actuel, branche Raoul) --> apport Montecler
• Château et forêt de Concise (1893 - actuel, branche Marie-Henri, achat du château de La Loge 1921) --> apport Besnier
• Château d'Orange (1903 - 1921, branche Marie-Henri) --> apport Causans
• Hôtel du n°14 rue des Fossés à Laval (achat 1868 - ~1950, branche Marie-Henri)
• Hôtel Piquois du n°41 rue des Fossés à Laval (1886 - 1925) --> apport Causans

La famille Banyuls de Montferré a une implantation dans le Maine depuis 1827 par une alliance avec la famille Montecler.

  1. Alliance Montecler

Ernest de Banyuls, vicomte de Montferré (1795-1827), intime avec la famille royale dont tous les membres ont signé l'acte de mariage en 1826, alors major (lieutenant-colonel) au 50ème régiment de ligne basé à Arras, en déplacement à Verdun, ne supporte pas des critiques portées à l'encontre de la duchesse de Berry. S'ensuit un combat en duel au cours duquel il est tué à 31 ans.

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Il laisse sa femme Charlotte, née Montecler, veuve à 23 ans, avec Henri, à peine 8 mois, fils unique.

Celle-ci retourne s'installer auprès de sa famille avec son fils Henri qui sera éduqué par son grand-père Gaspard, marquis de Montecler (1773-1848), au château de Montecler à Châtres-la-Forêt.

 

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1848, Gaspard décède, Charlotte laisse le château à son frère Henri, nouveau marquis de Montecler (1813-1883) et s'installe aux Grandes Loges, dépendance du château, tandis que son fils Henri à 22 ans hérite du domaine du Gué des Pierres aux confins du domaine du château, sur la commune de Livet en Charnies.

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En 1850, les rejoint Marthe de Banyuls, comtesse de Montferré , née Desmé de Chavigny, veuve de Gaston (le frère aîné  d'Ernest), et sans postérité, jusqu'à sa mort en juillet 1865.

 

  1. Alliance Fournier de Boisayrault d'Oyron

Henri épouse le 30 avril 1861 au château de Verrières (commune de Bournand dans la Vienne), Marie-Pauline Fournier de Boisayrault d'Oyron, qui y est née le 2 septembre 1838.

 

Le couple réside quelques années au château de Champfleury en Fromentières, propriété arrivée dans la famille Montecler par Marie-Jeanne Budet de Champfleury, mère de Gaspard de Montecler, arrière grand-mère d'Henri.

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Pauline née en 1836 au château de Verrière, mariée en 1861 au château de Verrière, accouche également à trois reprises au château de Verrière en 1862, 1863 et 1864:

Elle décède au château de Verrière à l'âge de 30 ans en 1868, laissant son mari Henri veuf avec deux fils de 5 et 6 ans et une fille de 4 ans.

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  1. Alliance Vincens de Mauleon de Causans

 

Au numéro 41 de la rue des Fossés à Laval se trouve l' Hôtel Piquois (anciennement hôtel de Vaucenay) . Il est au milieu du XIXème siècle la propriété du couple Anselme et Sophie Levesque de La Bérangerie.

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Anselme est docteur en médecine. Le couple a perdu leur fils unique, également appelé Anselme et également docteur en médecine, prématurément à 28 ans et célibataire, en 1864.

Sophie, née Salmon, a une sœur de quatre ans sa cadette, Louise Salmon (1816-1846), qui épouse Adhémar de Vincens de Mauléon, marquis de Causans (1817-1876) le 8 mai 1842, avec qui elle a trois enfants avant de le laisser veuf dès 1846 en décédant à 29 ans:

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Adhémar de Causans se remarie en 1851 avec Julie Hovelt (1818-1859), originaire d'une famille de négociants de Dunkerque, fille unique et orpheline d'Armand Hovelt (1782-1852) et Camille Vernimmen (1798-1839), et qui le laisse veuf sans postérité dès 1859.

 

Le couple Sophie et Anselme de La Bérangerie s'occupe de leurs trois neveux Causans qu'ils reçoivent dans leur hôtel particulier du 41 rue des Fossés, mais aussi dans leur château d'Orange sur la commune de Saint-Jean de Mayenne qu'Anselme a fait édifier après avoir acheté le 28 décembre 1838 "les métairies et closeries d'Orange, de la Roche et des Chéloires, à Saint-Jean-sur-Mayenne" (Archives départementales de la Mayenne ; 3 E 3/133) puis le 5 novembre 1856 "la closerie du Pertuis d'Orange, à Saint-Jean-sur-Mayenne" (Archives départementales de la Mayenne ; 3 E 8/470) reconstituant ainsi le domaine médiéval d'une cinquantaine d'hectares. Il y fait édifier le château actuel dans l'axe de la pente du terrain vers la rivière Mayenne en direction du sud-est, avec des communs et une chapelle en retrait vestiges de l'ancien domaine.

https://gertrude.paysdelaloire.fr/dossier/demeure-de-villegiature-dite-chateau-orange/d4c83bce-0d65-4c46-a487-9c9dc832a7b6

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Des trois enfants Causans, Marie-Thérèse décède adolescente, tandis que Joseph-Adhémar devient prêtre Jésuite. René quant à lui, né en 1844, se marie en 1867 avec Marie-Anne de Lastic Vigouroux (1847-1924) et décède prématurément en 1870 à seulement 26 ans, laissant sa femme veuve avec une petite fille de deux ans et enceinte:

 

  1. 1876, année charnière

 

En 1876, chez les Montferré, la mort de Raymond de Banyuls, marquis de Montferré, sans descendance, fait passer le titre de marquis à Henri.

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La famille de Banyuls de Montferré ne compte plus que 3 représentants masculins: Henri et ses deux fils.

 

Henri s'est installé dans l'hôtel particulier du 14 rue des Fossés à Laval avec ses deux fils et sa fille Marie-Madeleine décédée en 1871. Il reste propriétaire du manoir du Gué des Pierres à Livet en Charnie.

 

En 1876, chez les Causans, Tiburgette, 8 ans, et René, 5 ans, déjà orphelins de père, perdent

Tiburgette et René héritent de leur tante du château d'Orange et de l'hôtel particulier du 41 rue des Fossés qu'ils occupent avec leur mère, Marie-Anne, nouvelle marquise de Causans.

 

 

Marie-Anne est originaire d'Auvergne par son père Harold. Celui-ci est doublement Lastic, de la branche Vigouroux par son père (seigneurs de Pierrefort et de Vigouroux) et de la branche Sieujac par sa mère (marquis de Lastic, comte de Sieujac, vicomte de Murat et propriétaires du château de Parentiniat), mais complètement mayennaise par sa mère Eugénie Besnier de Chambray.

 

La marquise-veuve de Causans mariera sa fille Tiburgette avec le fils aîné Marie-Henri (orthographié parfois Henry pour le différencier de son père) du marquis-veuf de Montferré habitant dans l'hôtel particulier en vis-à-vis dix ans plus tard en 1886. 

 

"On célébrait hier, en l'église Notre-Dame de Laval, le mariage de Mlle Tiburgette de Causans avec le comte Henry de Montferré, l'aîné du marquis de Montferré et de la marquise, née d'Oyron.

A signaler parmi les personnes présentes la comtesse d'Oyron les marquises de Montécler, de Chavagnac et de Villaret-Joyeuse, les comtesses de Vaujuas, Edmond de Lastic, de Pont-Farcy, du Bourg, Mme de Boisauhé, comtesse de la Barre et de Saint-Pierre.

Marquis de Chavagnac, de Heer, de Kernier; comtes d'Argouges, de SaintPierre, d'Argentre, etc.

Après la messe, la marquise de Causans, née de Lastic, a réuni les invités au château d'Orange, dans un lunch suivi d'une soirée dansante." (Journal Le Gaulois : littéraire et politique, édition du 21 mai 1886)

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4.       Passion chasse : rallye de Concise et rallye de Charnie

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Rallye Charnie

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Rallye de Concise

Marie-Anne hérite par sa mère Eugénie Besnier, fille unique, de la forêt de Concise à l'ouest de Laval qui la tenait elle-même de sa propre mère Claire Plaichard de La Choltière. Cette forêt se transmet ainsi par les femmes cinq générations de suite

Claire Plaichard de La Choltière (1800 - 1884) --> Eugénie Besnier (1822-1893) --> Marie-Anne de Lastic Vigourous (1847-1924) --> Tiburgette de Vincens de Causans (1868-1946) --> Renée (1891-1987) & Suzanne (1892-1985) de Banyuls de Montferré --> familles Martin du Puytison & Guyot d'Asnières de Salins

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« La forêt [de Concise] fut mise au pillage pendant la Révolution sans que les gardes pussent l'empêcher. Elle ne fut pas vendue nationalement. Douze triages en échurent au prince Louis de la Trémo ïlle en 1818.

La même année, Charles-Marie-Joseph-Bretagne de la Trémo ïlle, prince de Tarente, mit en vente ce qu'il en possédait dans les communes d'Ahuillé, Saint-Berthevin et l'Huisserie.

Enfin, le 24 janvier 1824, Louis-Stanislas-Kostka, prince de la Trémo ïlle, vendit à MM. Bernard Plaichard de La Choltière et Germain Périer des Saulais les 256 hectares qui lui appartenaient encore. »

Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne - Tome 1 de l'abbé Alphonse Angot

Une image contenant carte

Description générée automatiquementMarie-Henri et Tiburgette héritent de la forêt de Concise. Marie-Henri passionné de chasse surélève un relais de chasse au milieu de la forêt d'un étage pour constituer le château de Concise au lieudit "L'Ermitage" au centre de la forêt et s'y installe avec sa famille jusqu'en 1903 en alternance avec l'hôtel particulier du 41 rue des Fossés.

 

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  1. Les trois implantations Montferré en 1900

 

En 1894, Marie-Henri selon son dossier militaire réside au château de Concise à Saint-Berthevin.

  

Le dossier militaire de Raoul le situe à Vaiges en 1894 et à Livet, donc au manoir du Gué des Pierres en 1902.

 

Sur son dossier militaire, René de Causans bouge beaucoup. Il réside en 1893 à Pris au 5 rue d'Edimbourg. En 1894, il réside au château d'Orange. En 1896, il est résident étranger à Jérusalem. En 1897, il réside à nouveau au château d'Orange o ú il s'installe avec son épouse Henriette Delpech de Saint-Guilhem qu'il épouse la même année.

Elle y décède prématurément en 1900 à l'âge de 27 ans (1873-1900) . René veuf à 29 ans et sans enfant après seulement 3 ans de mariage, choisit de devenir prêtre. Entre 1901 et 1902, il fait des allers-retours entre Jérusalem et son château d'Orange.

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Il entre dans la Congrégation des Pères Augustins de l'Assomption (Assomptionnistes) en 1903 au séminaire de Louvain en Belgique, vendant le château d'Orange à sa sœur Tiburgette et son beau-frère Marie-Henri. En 1905, il refait un voyage au Moyen-Orient, Turquie, Syrie, Grèce, Italie avcant de finir son séminaire à Rome en 1905. Il est ordonné prêtre en 1906. Il revient à Laval à la mobilisation générale de 1914 et sert en tant qu'adjudant-Aumônier au 404 ème d'Infanterie. Il meurt pour la France à l'âge de 45 ans près d'Assevilliers (Somme) en 1916, cité à l'ordre du régiment et décoré de la Croix de Guerre.

 

L'édition de février 1901 "Annuaire général héraldique pour 1902 des cours du monde diplomatique et de la noblesse " Full text of "Annuare général héraldique" (archive.org) mentionne

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Raoul a épousé le 18 juin 1888 au château de Faymoreau (Vendée) Marie-Jeanne Prévost de La Boutetière de Saint Mars (1869-1944).

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Henri, marquis de Montferré, fait la navette entre le Gué des Pierres qu'il destine à son fils Raoul, et le 14 rue des Fossés à Laval qu'il destine à son fils Marie-Henri.

En 1906, on sait qu'il y a deux domestiques : Marie Monnier, veuve Buchot, née en 1843 et Alphonsine Verger, née en 1890.

 

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Il a 74 ans. Il cède le Gué des Pierres à son

Raoul sera maire de Livet en Charnie de 1904 à 1918.

 

 

  1. Patrimoine de la famille Montferré dans le Maine au sortir de la Première Guerre Mondiale

Après la mort en 1910 d'Henri à 84 ans, après deux décès héro ïques au combat, la famille Montferré se trouve avec seulement trois représentants masculins en 1918 : Henri avec deux filles Renée et Suzanne, et Raoul avec une fille Germaine et un fils Pierre.

Elle possède

 

  1. Chapelle de Saint-Trèche

Au sortir de la Première Guerre Mondiale, la famille est extrêmement affectée par le décès de Jacques et Raymond de Montferré ainsi que de René de Causans.

Elle finance à Saint-Jean sur Mayenne dès 1916 la restauration de la chapelle Saint Trèche sur les ruines d'une abbaye du VIIe siècle pour en faire un mausolée et demande l'autorisation d'y inhumer Jacques de Montferré et son oncle René de Causans. Le conseil municipal décide que la chapelle doit honorer tous les soldats de la commune et la chapelle devient ainsi sanctuaire et lieu de pèlerinage pour honorer les héros de la Grande Guerre, rassemblant dans un premier temps des processions de plus de mille personnes et conduisant à la création d'un arrêt de tramway spécifique sur la ligne Laval-Landivy desservant le sanctuaire de Pontmain.

Deux vitraux d'Auguste Alleaume, peintre verrier, sont posés dans la chapelle, l'un aux armes Montferré, l'autre aux armes Causans.

 

La verrière, détruite, est connue par 2 cartons conservés au musée de Laval qui permettent de l'attribuer au peintre verrier lavallois Auguste Alleaume. D'après le registre de caisse de l'atelier, elle a été posée en avril 1916 et payée 400 francs. Elle a été commandée et financée par le marquis Marie-Henry de Banyuls de Montferré (1862-1929) et son épouse Tiburgette de Vincens de Causans (1868-1946) en l'honneur de leur fils Jacques (1894-1915), mort au front.

Inscriptions : "PRO PATRIA", "PRO DEO". Armoiries : écu timbré d'une couronne de marquis, avec pour cimier une chauve souris aux ailes étendues et posée de front, et pour support 2 chimères affrontées à la tête de bouc, aux ailes de dragon déployées et au corps de sirène : fascé de sable et d'argent aux 6 pièces (famille de Banyuls de Montferré) ; écu timbré d'une couronne de marquis, avec pour cimier une main tenant un bâton d'or, et pour support 2 lions couronnés : écartelé, au 1 et 4 d'or au lion de gueules à la bordure d'azur chargée de 4 étoiles et de 4 croissants d'argent, au 2 et 3 de gueules à l'aigle de sable couronné d'or (famille de Vincens de Causans).

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  1. Vente du château d'Orange et ruine du château de Concise

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Henri et Tiburgette ont eu six enfants, les trois aînés décédant en bas-âge (1887, 1888 et 1889), seuls Renée (1891), Suzanne (1892) et Jacques (1894) atteignent l'âge adulte.

Renée (1891-1987) se marie en 1911 à Bernard Martin du Puytison (1885-1976), héritier du château de Feytiat en Haute-Vienne. Ils auront dix enfants.

 

Quant à Suzanne (1892-1985), elle se fiance en 1913 avec Jean Guyot d'Asnières de Salins, héritier du château de Beauregard aux portes de Vannes dans le Morbihan. La Première Guerre Mondiale éclate, Jean est fait prisonnier dès 1914 et passe la majeur partie du conflit prisonnier de guerre en Allemagne comme 2,4 millions de soldats. Libéré début octobre 1918, il se marie dès son retour le 21 octobre 1918 avec Suzanne. Ils auront sept enfants.

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En 1921 se trouve une propriété en lisière de la forêt de Concise en bien meilleur état que le château du même nom et surtout beaucoup plus près de la ville. Il s'agit du château de La Loge appartenant à la famille Gerbault, famille d'industriels spécialisés dans l'exploitation des fours à chaux. Pierre-Jacques Gerbault (1827-1878) a notamment été maire de Saint-Berthevin. La propriété appartient à son petit-fils Alain Gerbault, déjà connu à l'époque pour avoir été un as de l'aviation pendant la Grande Guerre, et ensuite comme champion de tennis. Il décide de changer de vie, de ne pas reprendre l'usine familiale et de vendre la propriété pour financer ses passions dans le tennis (lauréat à trois reprises du tournoi de Dinard, finaliste au tournoi de Monte-Carlo, en double à Roland-Garros et aux championnats du monde et participant à l'US Open), le bridge et la navigation, et ainsi devenir le premier navigateur à traverser l'Atlantique en solitaire en 1923 ainsi que le premier à boucler un tour du monde en solitaire en 1929 faisant de lui une super star.

 

Marie-Henri vend le château d'Orange en 1921 et achète à la place le château de La Loge.

 

Ses deux filles étant devenues châtelaines par alliance, Marie-Henri vend le château d'Orange pour acheter le château de La Loge plus commode qu'il destinera à sa fille Suzanne.

Le château de Concise en mauvais état n'est pas rénové et est rasé. Situé au lieudit "L'Ermitage" au milieu de la forêt, il n'en reste plus aucun vestige.

La Loge, maison de caractère de la commune, est une des étapes du programme de cette randonnée.Une image contenant intérieur, vert

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  1. Seconde partie du XXe siècle

• Au 41 rue des Fossés vit la marquise de Causans, née Lastic jusqu'à son décès en 1924. L'hôtel est vendu quelques années plus tard.

• Au 14 rue des Fossés vit la marquise de Montferré, née Tiburgette de Vincens de Mauleon de Causans jusqu'à son décès en 1946.

• La forêt de Concise est aujourd'hui partagée entre les familles Puytison et Salins.

• Le château de La Loge est toujours à la famille Salins en 2023.

• Le Gué des Pierres est également toujours dans la famille, à la branche Place

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